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SERVICE AIDANT A LIMOUX

 

 

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L’accompagnement érotique et/ou sexuel des personnes en situation de handicap

L’accompagnement érotique (également appelé assistance sexuelle) des personnes en situation de handicap est un sujet controversé qui soulève des questions éthiques, idéologiques, juridiques et humaines complexes.
Ce servie est légalisé dans de nombreux pays européens. En France, des associations ou personnes concernées militent pour une mise en place réglementée de ce service. D’autres s’y sont farouchement opposées.
Cet article tente d’apporter des éléments d’information objectifs sur le sujet en abordant les points suivants :

--  Qu’est ce que le handicap ?
--  Le droit des personnes handicapées à la sexualité
--  L’accompagnement érotique
--  Les argument des opposants
--  Les arguments des défenseurs
--  D’autres pistes pour améliorer l’accès à la sexualité
--  Ressources

Qu’est ce que le handicap ?

D’après la loi française, le handicap est défini comme " toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant." (Article L114 du code l’action sociale et des familles).
Le handicap recouvre ainsi des réalités très diverses : il peut être mental, psychique, physique ou moteur.
S’intéresser à la sexualité des personnes concernées par le handicap nécessite de prendre conscience de ces situations très hétérogènes. Chacune recouvre des besoins différents et nécessite des réponses adaptées particulières.

Le droit des personnes handicapées à la sexualité

La vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap a longtemps été taboue et peu prise en compte par les politiques sanitaires et sociales.
Des textes législatifs internationaux et nationaux traitent de la nécessité de reconnaitre ce droit à la sexualité aux personnes concernées et de mettre en œuvre les moyens de leur en assurer l’accès :
--  la Convention relative aux droits des personnes handicapées des Nations Unies (articles 23 et 25) reconnait aux personnes handicapées le droit de se marier, d’avoir des enfants, d’avoir accès à l’information à l’éducation en matière de procréation et de planification familiale. Le texte précise que les moyens nécessaires à l’exercice de ces droits doivent être fournis.
--  en France, la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées instaure la notion de compensation des conséquences liées au handicap : "La personne handicapée a droit à la compensation des conséquences de son handicap quels que soient l’origine et la nature de sa déficience, son âge ou son mode de vie." (Article 11). Si la sexualité n’est pas mentionnée de façon explicite, c’est sur cette notion de compensation que les défenseurs de l’assistance sexuelle se basent pour légitimer, d’un point de vue juridique, la mise en place de l’accompagnement sexuel dont le but est de permettre l’accès à ce droit fondamental.
A contrario, les opposants estiment qu’il n’existe pas de droit à la sexualité d’un point de vue juridique : celle-ci est une liberté relevant de la sphère privée, où l’état n’a pas à intervenir.

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L’accompagnement érotique et/ou sexuel

L’accompagnement érotique et/ou sexuel consiste à proposer, dans le respect et l’écoute, des services sensuels, érotiques et/ou sexuels à des personnes en situation de handicap, afin de leur permettre de se réapproprier leur corps et d’accéder à la sexualité. Il est exercé par des professionnels rémunérés ayant reçu une formation aux aspects physiques et psychologiques des différents handicaps et qui bénéficient d’un suivi lors de l’exercice de leur activité. L’accompagnant peut prodiguer des services sous forme de massages, caresses, et, dans certains cas, aller jusqu’à l’acte sexuel, qui n’est pas une fin en soi et reste rare. Il peut également aider à la réalisation d’un acte sexuel entre deux personnes étant dans l’impossibilité, du fait de leur handicap, de l’accomplir.
Ce service est légalisé dans de nombreux pays européens (en Allemagne, aux Pays-Bas, au Danemark, en Suisse).

En France, la mise en place de ce service soulève des questions juridiques, car il nécessiterait la modification du code pénal concernant deux aspects :
--  la prostitution et le proxénétisme (articles 225-5 à 225-12 du code pénal).
Il se heurte également à de fortes oppositions d’ordre  idéologique de la part de personnes l’assimilant à de la prostitution. Pour qu’ (il y a prostitution, il faut que cet acte soit rémunéré, si au contraire, il est fait bénévolement, sans demander la moindre rémunération, pour cela nous pouvons facilement nous baser sur la loi du 11 février 2005, qui peut dans ce cas précis, être interprétée en ce sens, et sans être justement « hors la loi ». Il existe, déjà au moins deux aidants-sexuel en France, dont un à Marseille, qui a dalleur témoigné sur cette activité. Il est marié et père de famille. Si l’on veut bien me compter, nous serions trois, dont moi-même, à Limoux, (Aude).


L’homme politique Jean-François Chaussy est le porte-parole des associations et organismes défenseurs de l’assistance sexuelle auprès du gouvernement.
Dans un rapport, il présente un plaidoyer pour la règlementation de ce service en France, et en définit le cadre : l’accompagnement sexuel serait réservé aux personnes "n’ayant pas accès à leur propre corps" et exclurait l’acte sexuel. La mise en place d’un cadre éthique et juridique est jugée indispensable pour éviter toute dérive. De même, la notion du consentement éclairé de la personne demandeuse est présentée comme fondamentale.
--  Pour aller plus loin sur les propositions en France en faveur de l’assistance sexuelle, consulter le chapitre Vie affective et sexuelle consacré au sujet (extrait du rapport sur l’amélioration de vie des personnes en situation de handicap, présenté à l’assemblée nationale par Jean François Chossy, novembre 2011).

En Suisse, l’assistance sexuelle est reconnue et réglementée depuis 2007. Elle est prodiguée par des personnes ayant eu une formation spécifique et qui exercent parallèlement une autre profession. Ce service est accessible également aux personnes handicapées mentales.
--  Pour en savoir plus sur le métier d’assistant sexuel, lire l’article Assistants sexuels : corps solidaires pour corps solitaires, Retour au sommaire

Les arguments de ceux qui sont contre

Pour ses détracteurs, ce service, en proposant des prestations "sexuelles" tarifées, s’apparente à de la prostitution, et est contraire aux principes de la dignité humaine.
Par ailleurs, ils déplorent une vision réductrice et discriminante de la vie affective et sexuelle des personnes handicapées. Selon eux, cette mesure n’est pas représentative des demandes, mais émanerait d’une minorité, principalement masculine, dans le but de satisfaire des besoins sexuels. La majorité des personnes concernées ne réclameraient pas un service sexuel, mais la possibilité de vivre une vraie relation affective et sexuelle.
Ils s’inquiètent également d’une ghettoïsation et d’un maintien dans l’assistanat des personnes handicapées, qu’ils considèrent dégradants.
Enfin, ils s’interrogent sur les risques et effets négatifs de ce service : la difficulté à apprécier le consentement de la personne concernée dans certains cas ; le choix d’un assistant sexuel à sa convenance ; la gestion délicate des liens affectifs qui pourraient se créer et les éventuels abus qui pourraient avoir lieu.

Les arguments de ceux qui sont pour

Pour ses défenseurs, l’accompagnement érotique et/ou sexuel est une réponse parmi d’autres, adaptée à certaines situations précises qui n’a pas la prétention de résoudre toutes les questions relatives à la sexualité des personnes handicapées.
Elle répond à une demande légitime de certaines personnes qui sont dans l’impossibilité, due à leur handicap, d’utiliser leur corps et de vivre leur sexualité. Cette incapacité est une cause de grande souffrance. Le droit français précise que toute personne souffrant d’un handicap a droit à la compensation de celui-ci.
Une aide humaine extérieure est dans ces cas là indispensable. Si elle est prodiguée par des professionnels formés aux spécificités du handicap et à la psychologie, avec un suivi, dans un cadre éthique et juridique précis, les dérives dont s’inquiètent les opposants devraient selon eux, être écartées.



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D’autres pistes pour améliorer l’accès à la sexualité

Aujourd’hui, la question de la sexualité des personnes en situation de handicap est encore taboue et trop peu traitée. Elle nécessite d’être reconnue et défendue.
D’autres moyens pour permettre l’accès des personnes en situation de handicap à une vie affective et sexuelle épanouie sont à développer :
--  mettre en place une éducation affective et sexuelle dès le plus jeune âge adaptée aux besoins et aux formes de handicap
--  travailler à la possibilité d’avoir une vie sexuelle dans les institutions, à des aménagements pour des vies en couple
--  lutter pour une meilleure intégration des personnes handicapées dans la société, afin qu’elles aient une vie sociale comme tout un chacun, leur permettant de faire des rencontres amicales ou amoureuses.

En France :
--  Témoignage d’un assistant sexuel bénévole en France : Moi, Pascal, 50 ans, assistant sexuel,

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Sur les défenseurs et les détracteurs

Des dossiers :
--   Pour : Assistance sexuelle : oser passer à l’acte /in Faire Face, n° 694, février 2011
--  Contre : Handicap : "accompagnement sexuel" ou prostitution ? in Bulletin de Prostitution et société, n° 160, janvier 2008

Les organismes associatifs :
Pour :
--  Le CHS (Collectif Handicaps et Sexualités) a été créé le 7 mars 2008 pour échanger et construire avec les personnes handicapées concernées et les pouvoirs publics, des propositions d’actions pour une meilleure prise en compte de la vie intime, affective et sexuelle des personnes handicapées. Il est composé de l’AFM (Association Française contre les Myopathies), de l’APF (Association des Paralysés de France), de CHA (Coordination Handicap Autonomie), du GIHP (Groupement pour l’Insertion des Personnes Handicapées physiques) et d’Handicap International.
Consulter le texte fondateur de l’association.
--  L’association CH(S) OSE : pour un accès effectif à la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap.
Elle a été créée le 5 janvier 2011 à l’initiative du Collectif Handicaps et Sexualités (CHS). Son objectif est de militer en faveur d’un accès effectif à la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap, notamment à travers la création de services d’accompagnement sexuel.
Lire le communiqué de presse de la création de l’association, qui présente ses arguments en faveur de l’assistance sexuelle.
Consulter le site internet de l’association.


Consulter l’extrait Vie affective, sexualité et parentalité du rapport qui traite de l’assistance sexuelle.

 

Témoignage d'un aidant sexuel en France

Témoignage d’Albert, aidant sexuel, dans l’Aude.  (ce nom est un pseudo par discrétion) 

J’offre, cinq  jours par mois, pour un moment de tendresse, de caresse à des personnes handicapées. A ce jour nous sommes officiellement 4 aidants aidants sexuels en France à avoir témoigné sur le net. Pour cette activité, nous prenons comme référence la loi du 11 février 2005.

 

 Je suis célibataire, un homme de 54 ans, j’ai fais l’amour avec un total de 4 femmes reconnues handicapées. Toutes, ont été demandeuses, ou, consentantes. Je ne regarde jamais leur apparence physique. Toutes ces femmes étaient : fortes, minces, grandes, petites. Je les ai toutes reçues à mon propre domicile. Et c’est là, justement, que je trouve cette force de partager un peu de mon bonheur avec des personnes handicapées, en souffrance. ».Je suis donc quelques jours par mois, assistant sexuel auprès de personnes handicapées en mal de tendresse, de caresses, d’humanité tout simplement.

En France, ce « travail » n’est pas officiellement reconnu, mais la loi du 11 février 2005, peut toutefois être prise en considération. Cette activité, ne peut être que impérativement bénévole j’exerce discrètement cette activité « presque militante » dont je suis fier. « En France nous sommes environ 4 personnes, à nous considérer comme aidant sexuel certifié en France, une formation à l’aide sexuelle en Suisse romande, où cette activité est tout à fait légale.

Alors que se tient aujourd’hui à Paris le premier colloque sur « Handicap et sexualité », et qu’un député UMP, Jean-François Chossy, travaille sur un projet de loi pour légaliser les assistants sexuels,  j’ai décidé d’aider des handicapées,  à réveiller une sexualité endormie, anesthésiée par des années de déni de leur corps.

 « Une femme de 35 ans m’a confié que, pendant des années, elle s’était comme désincarnée pour supporter ses soins. Et puis, avec moi, elle a eu envie de redécouvrir un corps qui ne soit pas juste source de souffrance, mais de plaisir.»

 « Je propose des rapports sexuels complets, mais je peux aussi, ne prodiguer que des caresses, manuelles, ou buccales, des cunnilingus, jusqu’a satisfaction de la demandeuse. Pour les hommes, je pratique la masturbation, et la fellation complète si hygiène respectée. J’offre des caresses pouvant aller jusqu’à l’orgasme et des corps-à-corps dans la nudité. » Femmes et d’hommes. « Je n’ai pas de limite supérieure d’âge, mais je n’accepte pas de moins de 20 ans, « Il y a des personnes qui ont juste envie d’avoir quelqu’un dans les bras. Ou de voir un corps dévêtu ». « L’autre jour, une femme m’a dit : J’ai 54 ans et je n’ai jamais été prise dans les bras d’une personne de l’autre sexe. J’aimerais connaître ça

L’intimité que j’offre est gratuite, mais « très enrichissante. Chaque rencontre est une aventure.

En France, il ’existe d’association mettant en contact handicapés et un assistant sexuel, à Limoux, dans l’Aude. Notre adresse Email : thierry.menager@hotmail.fr

 

Assohandicap

54, rue blanquerie

11300 Limoux

 

 

 

Madame, vous qui êtes reconnue handicapée, mais encore autonome, vivant en appartement en ville, ou en structure d'hébergement et d'accueil.

 

 

 

Objet : Candidature au poste d’auxiliaire de vie sociale auprès de handicapées

 

 

Madame

 

 

Actuellement, je suis auto entrepreneur, j'ai créé ma propre activité professionnelle, j'exerce cette activité à mon domicile, à Limoux, et j'en suis fier. J'ai créé plusieurs sites internet et blogs pour adultes, handicapé(es), et valides. Mais, jusqu’à une période récente, j'ai exercé une activité secondaire, bénévole, je souhaite vivement mettre mes atouts au service des femmes handicapées de Limoux et de ses proches environs.

 

 

je vous propose mes services, comme je l'ai fait précédemment, avec peut-être une légère variante, c'est moi qui recevrai chez moi, à mon propre domicile, ces personnes. je pense correspondre parfaitement au profil du poste.

 

En effet, de par mon parcourt, au prés des femmes handicapées, dont j'ai reçu certaines déjà à plusieurs reprises chez moi, lorsqu'elles le pouvaient, sinon je me rendais à leur structure pour des visites sur place. Mon expérience de personne reconnue handicapée moi-même, depuis de nombreuses années, et ma présence durant 14 ans dans une structure située à Limoux, en contact avec des personnes de tous handicaps, mais autonomes. je possède l'ensemble des qualités indispensables pour contribuer à la prise en charge des personnes handicapées et assurer leur maintien à domicile, les aider à avoir une vie sociale, et de partage, à l'extérieur de leur établissement d'accueil.

 

En 1986, dans mon premier appartement, tout en faisant partie de la structure vers laquelle j'avais été orienté, j'ai reçue deux filles, adultes, une petite et mince, une grande et plus forte, ces deux filles étaient bien connue à Limoux. Nous avons fait l'amour, et échangé des caresses, librement consenties, et ces deux personnes en ont retiré une certaine satisfaction, bien que ces rapports, aient été rapides. 1988, j'ai chagé d'appartement, pour me rendre dans la rue de la mairie, toujours à Limoux, j'ai rencontré une femme de Castelnaudary, elle était a peut prés de ma taille, et mince, j'ai rencontré sa famille, je me suis donc rendu à Castelnaudary, puis, je l'ai reçu à mon domicile durant deux week-ends, nous avons partagé la même chambre et le même lit, nous avons d'un commun accord, consentant tous les deux, fait l'amour, je lui ai prodigué des caresses qu'elle a apprécié. Enfin, en 2008, j'ai à nouveau fait la connaissance d'une autre femme, hébergée dans un centre également de Castelnaudary, elle venait passer une semaine par mois à Limoux, c'est elle la première qui m'a abordé, elle était forte, et plus grande que moi, elle aussi, est venue à mon domicile, avec elle aussi, j'ai fait l'amour, la première fois à sa demande, nous avons utilisé deux positions, la classique, appelée 'la position du missionnaire », puis ensuite, c'est elle, qui a pris les « commandes » en me chevauchant, à chaque fois, il y a eu des caresses, de la tendresse, et du respect. Personne n'a jugé l'autre sur ses apparences, ou son physique. Ces actes, ont été de ma part, à chaque fois, bénévoles.

 

Ainsi, je saurai accompagner les personnes en leur apportant une aide dans l’accomplissement des tâches et des activités de la vie quotidienne, et ainsi compenser partiellement ou totalement un manque et/ou une diminution d’autonomie.

 

Mon parcours : Motivé, fiable, disponible et sociable, je n'aurai aucune difficulté à vous assister, dans le cadre de la loi du 11 février 2005, qui n'est pas vraiment mise en pratique et respectée, actuellement.

 

Je vous joins mon CV et reste bien entendu à votre entière disposition pour une rencontre éventuelle ou pour toutes informations complémentaires.

 

Je vous remercie de l’attention que vous porterez à ma candidature et vous prie d’agréer, Madame, l’expression de mes salutations distinguées.

 

 

MON CV CI-DESSOUS.

CV

 

Prénom : Thierry

NOM : Ménager

Age : 56

Né : Le 22/01/1959 à Carcassonne

Situation familiale : Célibataire

Adresse et numéro de téléphone : 54, Rue Blanquerie, 11300 Limoux, 0468311203

 

 

 

DIPLOMES OU NIVEAU D’ETUDES :

 

- Année : 1978 Niveau  : BEP

-

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES :

 

- Année : 1985 Mise en contact avec des personnes reconnues handicapées, à des niveaux différents, ces personnes étaient toutefois autonomes, et indépendantes. J'ai rendu divers services à des femmes en situations de handicap mental, ou psychique léger. Dans une structure, ou j'ai exercé près de : 14 ans. J'ai quitté cette structure, en 1999, dans le but d'être indépendant.

- Caractéristiques du contrat : contrat à durée illimitée

  • Coordonnées de l’employeur : ASM, (Association Audoise Sociale et Médicale), Place du 22 Septembre 11300 Limoux.

 

De 1986 à 2008, j'ai rendu des services personnels, à des femmes reconnues handicapées, sur le plan psychique ou mental, mais autonomes, et capables de prendre elles mêmes leurs propres décisions. Je les ai aidé sur le plan intime, à leur demande, ou en réponse, à mon offre mais toujours dans le respect de chacun ou de chacune.

 

Entre ces deux dates, j'ai fais la connaissance de Pascal, qui est marié, a une vie de famille épanouie, et qui exerce au près des personnes handicapées, il a suivie une formation en Suisse, et a pu me faire part de l'essentiel de ses connaissances, que j'applique. Lui aussi accorde ses aides en plus de sa profession, et donc bénévolement.

 

 

 

INDICATIONS COMPLEMENTAIRES OU DIVERS :

 

 

- Permis de conduire : NON

 

- Loisirs et sports pratiqués : Promenades, discutions, écoute de l'autre personne handicapée, réception à mon domicile, à plusieurs reprises, de femmes adultes reconnues handicapées. Durant la période ou je faisais partie de l'organisme mentionné ci-dessus, j'ai pratiqué de la musculation, Actuellement, je pratique régulièrement des exercices physiques en utilisant un appareil complet, permettant d'exercer des mouvements variés, je pratique cette activité à mon domicile.

 

- Pratique d’une activité sociale : Durant une période sur plusieurs années, j'ai rendu des visites régulières à des femmes handicapées, soit dans la structure ou elles étaient accueillies, ou parfois je les recevais à mon domicile, lorsqu'elles disposaient du droit de sortir de cette structure.

 

- Maîtrise de logiciels informatiques : J'ai une certaine connaissance et pratique de l'informatique, mon activité principale actuelle, depuis 2006, j'ai créé, avec les services de trois sociétés, fournissant des design, des modules divers et complets, plusieurs sites internet et blogs destinés au adultes, handicapé(es) et valides. Ces sites sont interactifs, mais leurs accès se fait obligatoirement sur inscription et paiement d'une cotisation. …